Ritigala

Ritigala est un monastère bouddhiste et une montagne antiques en Sri Lanka. Les ruines et les inscriptions de roche du monastère remontent au 1er siècle BCE. Il est situé 43 kilomètres de la ville monastique antique de la chaine de montagne d'Anuradhapura.

La chaine de montagne de Ritigala
La chaine de montagne de Ritigala se compose de quatre crêtes dont la canalisation et le sommet le plus élevé aux sud de la chaine est appelée Ritigala Kanda. La chaine de montagne de Ritigala, une réserve naturelle stricte de 3776 acres (1582 ha), dans la zone sèche de Sri Lanka, elle est contrôlée par le département de la faune de Sri Lanka ainsi que le département du foret de Sri Lanka.

Montagne de Ritigala
À 766 m (2513 pieds) au-dessus de niveau de la mer, et à 600 m au-dessus des plaines environnantes, Ritigala est la plus haute montagne dans Sri Lanka du nord. Le nom moderne Ritigala est dérivé du nom antique Ariṭṭha Pabbata (montagne terrible), mentionné dans le Mahavamsa.
Son altitude est plus haute que les autres attractions touristiques principales des plaines centrales du nord, à savoir Sigiriya, Dambulla et Mihintale. L'importance de cette caractéristique topographique se situe dans les heerness brusque du massif, de ses pentes boisées et de microclimat humide au sommet. Pendant la mousson est du nord (Décembre à Février), Ritigala éprouve les précipitations les plus élevées (125 cm) de la zone sèche entière.
Le climat micro humide chez Ritigala est une occurrence singulière dans les plaines centrales du nord, la signification « de Bandi Wewe » Rata de Sri Lanka antique « la terre des réservoirs d'eau de pluie » dans Sinhalese.

Climat de Ritigala
Le climat au sommet est dans le contraste par rapport au climat au pied ; il fait plus frais par rapport au climat chaud et sec de la région. Ses précipitations enregistrent le plus haut dans la totalité de la zone sèche l'entourant par une bonne marge pendant la mousson du nord-est de la zone sèche de l'île tropicale de Sri Lanka. La nébulosité de brume et qui encapsule le sommet pendant la mousson de sud-ouest de la zone humide de l'île, a comme conséquence la condensation élevée de vapeur, consécutivement, tournant la terre humide quand les plaines tout autour est dans la sécheresse. 

Légendes
Les légendes abondent sur Ritigala. L’un des aspects mystérieux est la croyance des herbes médicinales puissantes trouvées près de la crête. Une herbe appelée « Sansevi » est censée pour avoir la puissance de conférer longue vie et de traiter toute la douleur humaine. Selon la légende, toute la végétation sur Ritigala est protégée par Yakkas, les esprits gardien de la montagne. Le prof. vénérable Walpola Sri Rahula Maha Thera (1907-1997), un professeur d'histoire et religions à l'Université Northwestern, un chercheur de moine bouddhiste, dans son « histoire de bouddhisme en Ceylan, dit que « le terme « Yaksa » dénote les êtres surhumains dignes du respect. Il est possible qu'il ait été appliqué, par une extension de la signification, aussi à une certaine tribu pré-bouddhiste des êtres humains, indigène en Ceylan ».
 

La légende dit que prince Pandukhabaya (3ème siècle AVANT JÉSUS CHRIST) a été aidé par Yakkas pendant ses batailles contre ses huit oncles au pied de Ritigala. Une autre légende se rapporte à un duel de deux géants, le plus probablement Yakkas, appelé Soma et Jayasena. Le Soma étant tué dans le duel, Jayasena est devenu une légende. 

La légende de Seigneur Hanuman et de Ritigala
Selon la croyance populaire, le Seigneur Hanuman non-humain avec des puissances surnaturelles, parcourus au-dessus de Ritigala, et, accidentellement, a lâchés un gros morceau d'une montagne de la chaîne de l'Himalaya qu’il portait de l'Inde à Lanka pour ses herbes médicinales. Le frère de Seigneur Rama, prince Lakshmana a été mortellement blessé dans la bataille et seulement une herbe rare en Himalaya pourrait sauver sa vie. 

La poche de végétation des herbes curatives et des plantes au mini-plateau étrange du sommet de Ritigala, qui est distinct de la flore de zone sec des pentes inférieures et des plaines environnantes de Ritigala, pourrait être expliquée ainsi.

Le Seigneur Hanuman a visité Lanka à une occasion précédente. C'était quand il a été envoyé par le Seigneur Rama à la recherche de son conjoint Sita. C'était le Roi Ravana, un passionné de Dieu Siva, qui a saisi Sita de Parnasali en Inde, la hutte sainte de Seigneur Rama et l'a amenée à Asok Vana, un beau parc a Seetha Eliya (près de Nuwara Eliya ou de la petit Angleterre, comme l’appelait les Anglais durant les trois millénaires passé) sur le Pusparaga (Dadumonara) dans un char d'air, sans la toucher. (Le logo de paon d'Air Lanka, du prédécesseur de Sri Lankan Airlines et du successeur d'air Ceylan, est une version stylisée du char de l'air de Rawana.) La conclusion de l'emplacement où Sita a été tenu, Hanuman s'est servie de Ritigala Kanda comme plate-forme de lancement pour prendre un saut au dessus à l'Inde du sud. Par ailleurs, Ritigala est la plus haute proéminence entre les plaines centrales de Sri Lanka et la côte de l’inde du sud.

Ruines du monastère antique de Ritigala

Les ruines du monastère de Ritigala sont situées du côté sud de la montagne au pied de la gorge qui sépare la crête principale de l'arête du nord de la chaine. Les ruines couvrent une aire de 24 hectares (59 acres). L'enceinte de monastère commence au bureau de la branche sur place du département de l'archéologie de Sri Lanka près du pied du réservoir appelé Banda Pokuna. Le réservoir synthétique antique est un exploit de l'ingénierie avec une digue de plan polygonal accomplissant une circonférence de 366 mètres. La construction du réservoir est créditée au Roi Pandukabhaya (437 -367 AVANT JÉSUS CHRIST). Le réservoir a probablement atteint un objectif se baignant rituel, avec des visiteurs se baignant là avant d'entrer dans le monastère.
 

L'ordre rituel du réservoir baignant, les ruines de l'entrée complexes et un chemin piétonnier semblent indiquer aux passionnés en grands nombres visitant le monastère. Le cortège est semblable à celui de Kataragama où les pèlerins commencent par un bain de nettoyage à la rivière de Kataragama Manik et l'extrémité avec une offrande au Dieu Skanda, la divinité indoue bienveillante de Kataragama au tombeau principal.

Le bord du réservoir est suivi dans un sens horaire pour arriver à l'autre banque, et croise le lit du courant alimentant le réservoir. Les étapes raides ici amènent en avant à un trottoir admirablement construit, un chemin en pierre 1,5 mètres de large qui serpentent vers le haut par la forêt, liant les bâtiments principaux du monastère. Le chemin de coupe de pierre est enclenché par les quatre dalles dégrossies de la pierre taillée. Trois grandes plates-formes circulaires à intervalles le long du trottoir tiennent compte du repos. 

Ponts en pierre, plates-formes augmentées et cours

Il y a les structures en pierre appelées les double-plates-formes, qui sont caractéristiques de Ritigala et d'autres monastères de forêt tels qu'Arankele, Veherabandigala et les monastères occidentaux à Anuradhapura. Répartissez une aire d'environ 120 acres sont environ 50 telles doubles plates-formes.
 

Des plates-formes augmentées constituées par des murs de soutènement des pierres massives sont trouvées dans les paires, liées ensemble par un pont en pierre. L'axe principal des plates-formes combinées est placé exactement est-ouest. Les structures alors ont été couvertes et le plus probablement divisées en salles. Celles-ci sont censées pour être employées pour des pratiques solitaires telles que la méditation, aussi bien que des fonctions en assemblée telles que l'enseignement et la cérémonie. Au-dessus des pierres de taille déverrouillage d'un mensonge en pierre de pont et des ruines d'un hôpital de monastère, où les herbe-feuilles médicinales et les bains de pierre et énormes racine-de meulage de pierre decoupe d'Ayurvedic d'huile peuvent encore être vus.
Le trottoir continue droit devant à atteindre un des ronds points. Environ 20 mètres avant l'atteinte autour, un chemin se dirige vers le droit, menant par l'énorme arbre s'enracine à une surveillance, atteinte par une haute pierre au-dessus d'un courant glougloutant. Continuez encore est une autre surveillance. Alors est trouvé une cascade artificielle conçue en plaçant une dalle en pierre entre deux roches.

Encore 500 mètres et encore deux cours submergées sont vus. La première cour contient une grande double structure de plate-forme, une des plus grandes structures en pierre dans le monastère entier; une des conserves de plates-formes les restes des piliers qui ont par le passé soutenu un bâtiment. Quelques mètres se trouvent au-delà une deuxième cour et une grande double plate-forme différente. 

Austérité extrême au monastère de Ritigala
 

Excepté quelques statues cassées de Bouddha de granit en un certain nombre de cavernes, Ritigala n'en a aucune des icônes traditionnelles des temples bouddhistes : aucun arbre de BO, aucuns stupas. Le premier Lanka Vihare (temple) a été fondé près de Ritigala au pied de la montagne au 2ème siècle AVANT JÉSUS CHRIST. L'Aritta Vihare a été fondé un siècle après. Les Royals ont prouvé les patrons généreux. Dans l'ANNONCE du 9ème siècle, le Roi Sena fait dotation du monastère, un plus grand plus haut complexe la pente pour un groupe d'ascétiques bouddhistes a appelé les moines de Pansukulikas (robes longues de chiffon) qui se sont consacrés à l'austérité extrême à la recherche de l'éclaircissement suprême.
 

Tel était le détachement de ces ascétiques bouddhistes de la vie traditionnelle des moines bouddhistes aux temples de village, leurs robes longues les chiffons a été simplement nettoyé, lave et réparé, en grande partie linceuls sélectionnés des cimetières, en conformité avec une des treize pratiques ascétiques (Dhutanga) décrites dans le Buddhism.

Urinoirs décorés : acte symbolique de dissociation avec des excès ritualistes

Le seul exemple du découpage représentatif à trouver a Ritigala est sous forme d'urinoirs décorés qui se composent de la tasse d'urine, du trou de drain et des appuis de pied. On le croit que ces pierres décorées ont été censées pour dépeindre les excès architecturaux et ritualistes des chapitres monastiques orthodoxes auxquels le Pamsukuilikaa (moines consacrés à l'austérité extrême) ont été opposés. On lui discute également que l'acte de l'urination sur les pierres décorées d'urinoir était pour elles un acte symbolique de dissociation.

Source : https://en.wikipedia.org/wiki/Ritigala